Biographie [Musique]

Biographie

Bob Marley, Nesta Robert Marley[1] est né le 6 février 1945 à Rhoden Hall près de Nine Mile dans le département de Saint Ann (Jamaïque). Il décèdera d'un cancer généralisé suite à un mélanome qu'il n'a pas soigné à temps.

Né d'une mère jamaïcaine noire âgée de 18 ans, Cedella Marley Booker, née Malcolm, et d'un père jamaïcain blanc d'origine anglaise et plus lointainement syrienne, superviseur à cheval des travaux des champs et âgé d'une cinquantaine d'années, Norval Marley, qu'il n'a que très peu connu.

Les parents de Norval Marley n'acceptaient apparemment pas sa liaison avec une femme noire, et Norval, décrit par Cedella comme un homme gentil, mais de faible caractère, aurait été rejeté par sa famille. Bob Marley souffre de l'absence de son père, qui le fait venir à la capitale pour étudier quand il a cinq ou six ans. Sans nouvelles, sa mère le retrouvera des mois plus tard dans une rue de Kingston : son fils avait été confié à une vieille dame, pour qui il faisait les courses. Cedella voit Norval une dernière fois et reprend son enfant.

Surnom : Le Roi de la Pop
Nationalité : Américain
Métiers : Chanteur,Auteur-compositeur , Danseur
Genre principal : Pop
Naissance : 29 aout 1958

Il vient au monde le 29 août 1958 à Gary, dans l’Indiana, coin de la planète bleue et des États-Unis. Si la magie semble s’être penchée sur son berceau, la vie de l’enfant prodige de la Soul, devenu « The King of Pop », n’est pas un conte de fées aux longs fleuves tranquilles. Son « Il était une fois » est un parcours chaotique fait de succès et d’échecs, de joies et de souffrances. Génie précoce, roi de la pop, il est adulé par les uns. Dangereux mégalo excentrique, déséquilibré instable, il est haï par les autres. L’artiste controversé, dont les ventes et les extravagances atteignent des records, ne laisse personne indifférent et ne cesse de faire parler de lui. L’histoire retiendra peut-être ses procès médiatiques et les rumeurs de perruque ou de lit-caisson à oxygène, mais on se souviendra surtout de son immense talent. Michael, avant de connaître la gloire et la richesse, grandit entre cinq frères (Jackie, Tito, Jermaine, Marlon et Randy) et trois sœurs (Rebbie, La Toya et Janet). Le chef de cette famille nombreuse, Joe, est autoritaire et violent. Déçu par l’insuccès des Falcons, l’ancien guitariste reporte ses espoirs de fortune et de notoriété sur ses enfants et leur inculque la rigueur. Jackie, Tito, Jermaine, Marlon et Michael, encore cadet avant la naissance de Randy en 1962, apprennent le chant, la danse et les influences musicales de leur père (Otis Redding, Little Richard et les grands chanteurs noirs américains). En 1964, après avoir écumé les radios-crochets, les cinq frères forment les Jackson Five. Le quintette connaît le succès en 1967 en remportant le concours du fameux Apollo Theater de New York. Sous contrat avec Steeltown Records, le groupe quitte la petite maison de disques pour rejoindre une importante firme noire-américaine, la célèbre Motown, en 1969. Avec « I want you back », Michael devient une star à seulement onze ans. L’année suivante, il reste au sommet avec « ABC » et « I’ll be there », classés numéro 1 des charts. Véritable leader, Michael se démarque de ses frères. Sa voix aiguë et sa remarquable présence scénique retiennent l’attention des producteurs qui décident de le lancer en solo. En 1972, il chante seul « Got to be there ». En 1976, les Jackson Five changent de maison et de nom : ils signent chez Epic et se rebaptisent. En Jacksons, ils continuent leur ascension internationale avec « Destiny » et « Triumph », en 1978 et 1981. Michael, malgré son acné ( ) et les moqueries de son père, séduit un large public, et sa carrière solo prend de l’ampleur : en 1979, « Of The Wall », produit par Quincy Jones, se vend à plusieurs millions d’exemplaires. « Thriller », en 1982 : : , couronne son sacre. Avec son timbre, ses chorégraphies et ses clips élaborés, Michael Jackson déchaîne les foules. Son nouvel album provoque un raz-de-marée dans l’histoire de la musique : les Beatles et le King sont détrônés. Le roi est mort, vive le roi de la Pop : « Thriller », contenant l’indémodable « Billie Jean » : : , devient l’album le plus vendu. Légende vivante, Michael Jackson se sert en 1985 de sa renommée pour lutter contre la famine. Avec Lionel Richie, il coécrit « We are the world ». De nombreuses vedettes, dont Cindy Lauper et Bruce Springsteen, participent à l’enregistrement au profit des populations africaines décimées. Préoccupé par le sort de son prochain et surnommé « Bambi », la star au grand cœur devient mauvaise : en 1987, « Bad » sort. Le clip du titre-phare est réalisé par Martin Scorsese et tourné dans le métro new-yorkais. En 1991, Michael Jackson ne clame plus « I’m bad » ( :P: ), mais « Dangerous » est affiché partout. L’album remporte un énorme succès. Comme « Bad », il est plusieurs fois disque d’or et de platine. Les récompenses s’accumulent au cours des années et confirment son titre de noblesse et de célébrité.
« The King of Pop », homme-enfant à la démarche lunaire, fan de Peter Pan, est devenu un être de cire au Musée Grévin et a été intronisé au prestigieux Rock and Roll Hall of Fame. Mais son image n’est pas toujours glorieuse. En se mariant en 1994 avec la fille du King Elvis, Lisa Mary Presley, et en divorçant en 1996, il ne peut échapper aux paparazzi et aux soupçons des gros titres. Si la presse trouve son histoire d’amour aussi douteuse que ses paternités à venir, les médias ne peuvent que croire à la sincérité du public qui se précipite en masse pour acheter « History », son best of. En 1997, les fans de la star du Moonwalk peuvent imiter leur idole sur les titres de « Blood on the dance floor » où figurent quelques inédits et beaucoup de tubes remixés. 2001 est l’année du nouvel album original, « Invincible ». En 2003, paraît « Number ones » , une compilation des plus grands titres. En 2004, c’est « The Ultimate collection », mais pas la fin des sorties. En 2005, les bacs recueillent
l’« Essential Michael Jackson ».


Pas de nouveaux projets pour le roi de la pop en ce début 2008 si ce n\'est la réédition du légendaire \"Thriller\" pour ses 25 ans, sortie mondiale le 11 février. Un objet collector qui permettra à chacun de se replonger dans l\'un des plus grands albums jamais réalisé à ce jour. En attendant l\'apparition dans les bacs de ce nouvel album tant attendu.

de ma part , les paroles ne pourront pas suffir pour exprimer la générosité musicale de cet artiste qui a défié le destin et les mauvaises conditions . Un génie de musique qui a donné l\'exemple de l\'artiste complet.

"Thriller" sorti en 1982

charte du fofo : les pedophyles sont strictements interdits : :

hridis a écrit:charte du fofo : les pedophyles sont strictements interdits : :

on va as entrer dans ces détails car :
il n'y a pas de preuves valables à 100% qui affirment ces propos.
On parle de MJ l'atist et pas la personne , je vois pas qu'on est qualifié pour le juger en tant qu'homme.
Personne n'est parfait, à chacun un coté sombre , je peux te donner par suite l'exemple des atristes qui se droguent , les alcooliques ...
Au lieu de ça , parle nous des figures musicales que tu apprécie

7adhir 3arfi


Arch enemy, ahh qui connait pas ce groupe! ce groupe de death suédois composé par Michael Amott entouré par son frere Christopher Amott, Daniel Erlandsonn a la batterie ainsi que Joan Liiva au chant.

En effet, sans passer par la case de la demo, arch enemy saute directement a la case de production de son premiere album en 1996 (la meme année de leur formation). En 1999, arch enemy se voit rejoint par Sharlee D'Angelo autant que bassist s'ensuit par la production de leur 3eme album ainsi que la tourné en Europe, au Etats Unis ainsi quau Japon au coté de Children Of Bodom, In Flames et Dark Tranquility.

Mais cependant l'année 2001 marque le vrai tournant du groupe avec le remplacement du chanteur par la talentueuse Angela Gossow jusqu'a l'époque pas encore connue. "Oh My God!" c'est ce que criaient les fans en decouvrant Wage Of Sin la premiére apparition d'Angela dans leur Album, l'album est une tuerie qui se voit cartonner un peu partout. Ce qui suit est aussi glorieux lalbum Anthems Of Rebellion sortie en 2003 ainsi que Doomsday Machine sortie 2005 on en a qu'un seul mot a la bouche "waouu!"

En 2007, sort son 7éme album ainsi que le 4éme album avec Angela Gossow et encore une fois arch enemy ne fini pas de nous extasier avec une musique toujours orienté death metal mais qui rajoute une 'tite pincé de symphonique metal qui fait qu'embellir le tout

Au final, Arch Enemy reste l'un de mes meilleurs groupes :)

allez plis plis :)